mercredi 19 décembre 2007

Parlez-moi d'amour, redites-moi des choses tendres


Et qui dit amour dit... jeux hentai ! Hé si ! Et le site Iscariote ayant récemment eu une note sur l'animé dérivé du jeu hentai éponyme Kimi ga nozomu eien, je vous propose le générique de début de ce jeu XD
En parlant de cet animé, je l'avions bien aimé. Pensez : mes super-pouvoirs ( et ma lamentable expérience des jeux humhum o^_^o ) m'ont permis de prévoir à l'avance le déroulement de tout le premier épisode, sans même savoir à l'époque de quoi tout cela dérivait ^_^ Que voulez-vous, l'expérience, l'instinct... ( je... je suis une larve ! T_T ) Ajoutez après ça que le «héros» choisit pour une fois la bonne des deux filles entre lesquelles il hésite ( celle tombée dans le coma et celle qui culpabilise pour ça lol - un jour il faudra que je vous parle de Kana imouto, «the unfappable hentai game» ;-p Et puis pensez, une femme qui vient vous voir juste pour vous donner votre miam et votre sesque ;-p Ouais en fait non, si elle vous parle pas en plus de la Bonne Parole, ça va pas ( ce message vous était sponsorisé par ce site qui reprend de façon originale la source du titre de cette note - ne riez pas bande de mécréants ! - quand ils sauront que mon site impie renvoie chez eux !). Seul point noir de l'animé : le «héros» est une vraie loque, encore pire que ce baka de Shinji !!!
Mais place à la zikmu !



Les paroles :

Rumbling hearts

遙か遠くの虹で出逢えるの
あなたへの想い 生きてく
永遠に

やわらかな風に抱かれ
あなた想う心 切なくなる
丘の上 独りきりで
季節見送っているの

青空の向こう 何が視えるのかな
勇気が欲しい 静かに祈っている

もう戻れない
あなたの腕に包まれていた
優しい日々
夏の記憶かすかに残ってる
小さな花火消えない
今でも

水しぶき光浴びて
水晶みたいにほら 輝いてる
あどけない笑顔にさえ

私奪われてゆくの

指先が触れ合う その度不安なの
もう少しだけ このまま抱きしめて

もう帰れない
傷付くことをためらっていた 幼い日々
胸の奥で密かに育ててた
小さな想い消せない
今では

いつか
きっとすべてが 優しさになる
あの日に見た七色の夢
遙か遠くの虹で出逢えるの
あなたへの想い 生きてく 永遠に

Leur transcription :

Haruka tooku no niji de deaeru no
Anata e no omoi ikite yuku
Eien ni

Yawaraka na kaze ni dakare
Anata omou kokoro setsunaku naru
Oka no ue hitorikiri de
Kisetsu miokutte iru no

Aozora no mukou naniga mieru no kana
Yuuki ga hoshii shizuka ni inotte iru

Mou modorenai
Anata no ude ni tsutsumarete ita
Yasashii hibi
Natsu no kioku kasuka ni nokotteru
Chiisa na hanabi kienai
Imademo

Mizu shibiki hikaru abite
Suishou mitai ni hora kagayaiteru
Adokenai egao ni sae

Watashi uabawarete yuku no

Yubisaki ga fureau sono tabi fuan na no
Mou sukoshi dake kono mama dakishimete

Mou modorenai
Kizutsuku koto o tameratte ita osanai hibi
Mune no oku de hisoka ni sodateteta
Chiisa na omoi kienai
Ima demo

Itsuka
Kitto subete ga yasashisa ni naru
Ano hi ni mita nanairo no yume
Haruka tooku no niji de deaeru no
Anata e no omoi ikiteku Eien ni

Une traduction ( torched by myself):

Coeurs tourmentés

Puisque que nous pûmes nous rencontrer par cet inaccessible arc-en-ciel
Mes pensées pour toi dureront
A jamais

Porté par une douce brise
Mon coeur pensant à toi se met à poindre
Toute seule au sommet de cette colline
Je vois s'écouler les saisons

Que pourrait-on voir au delà de ce ciel bleu ?
Cherchant à prendre courage, je me recueille en silence

Ils ne reviendront plus
Ces tendres jours
Passés enlacée dans tes bras
Ces petits feux d'artifice demeurent
Un souvenir estival vague qui ne s'éteindra
Jamais

Les gouttes d'eau font pleuvoir la lumière
Vois ! elles sont pareilles à des cristaux qui brillent
Ton sourire candide même

Me ravit à moi-même

A chaque fois que nos doigts se touchent je me sens tellement gênée
Pour un instant encore continue à me serrer dans tes bras

Je ne peux plus revenir désormais
A ce temps de l'enfance où je craignais d'être blessée
Ayant germé en secret au fond de mon être
Ces sentiments ténus ne sauraient être effacés
Dorénavant

Un jour
Assurément il évoquera la tendresse
Le rêve de l'arc-en-ciel de ce jour-là
Puisque que nous pûmes nous rencontrer par cet inaccessible arc-en-ciel
Mes pensées pour toi dureront
A jamais

Post blogum :

J'aime bien cet adverbe japonais «mou» au moyen duquel on évoque tout ce qui est révolu, irrémadiablement consommé. Son champ d'action est d'ailleurs très large : de notre «mou modorenai» ( non ils ne reviendront plus) au «omae wa mou shinde iru» ( tu es déjà mort) de mon petit frère Ken, en passant par le «mou iya yo» ( non, arrête, on vient déjà de le faire 10 fois, je n'en puis plus) de nos braves hentais ;-p

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